Événement afin de mettre en valeur différentes églises de l'Archidiocèse de Sherbrooke.
Pour se rappeler l'histoire du diocèse de Sherbrooke ainsi que le legs laissé par les prêtres et les communautés religieuses sur le territoire estrien.
Diffusée à Radio VM et animée par Jocelyne St-Cyr, Horizon jeunesse + est une émission où se rencontrent jeunes adultes et adultes partageant leurs engagements et les valeurs qui les animent. En partenariat avec Ziléos, elle implique et donne une voix à des jeunes adultes de différentes régions pour les mettre en réseau, ce qui en fait un projet unique.
Les deux émissions s’alternent sur les ondes de Radio VM pour « briser l’isolement des personnes qui cherchent des réponses sur le sens de la vie et leur apporter douceur et paix de l’âme ». À travers des textes sur musiques choisies, Bernard Ouimet accompagne les auditeurs dans un temps d’intériorité et de cheminement spirituel.
Dans le cadre du Mois missionnaire 2023, célébré en octobre, découverte de 3 parcours différents qui sauront inspirer nos contemporains et devenir un outil d'animation missionnaire dans nos communautés.
Animée par Mario Bard, cette émission veut rejoindre des adultes qui se laissent interpeller par des questions sur des enjeux de notre temps aux plans éthique, social, et spirituel. L’émission aborde chaque semaine un sujet d’actualité sociale, culturelle ou religieuse. Une production de l’OCQ.
Production par l'Office de catéchèse du Québec de 4 vidéos dans le cadre d'une démarche de relecture de l'engagement social dans une perspective chrétienne.
Cette deuxième saison, produite par l'Oeuvre pontificale de la propagation de la foi, propose de découvrir 8 témoignages de gens d'ici, qui nous parlent de leur parcours missionnaire.
Production, par Albatros en Montérégie, de 13 capsules visant la formation des bénévoles afin de mieux les encadrer pour accompagner des malades en fin de vie et leurs proches.
Foi et turbulences, en onde sur Radio VM depuis plusieurs années, se présente sous une nouvelle mouture avec des émissions hebdomadaires en format table ronde animées par Jacinthe Lafrance en compagnie de ses invités.
Grâce à cette émission télévisée produite depuis de nombreuses années, le diocèse francophone de Sault-Sainte-Marie en Ontario garde informée sa communauté et offre du contenu alimentant la vie spirituelle et de foi pour faire grandir et maintenir l’Espérance. L’émission prend toutefois un nouveau tournant pour répondre davantage aux «besoins de la nouvelle évangélisation».
Un projet radiophonique animé par Mathieu Lavigne et Catherine Ego qui donnent la parole aux membres des Premières Nations et fait mieux connaître les manières de vivre le christianisme au sein des nations autochtones à travers des entretiens de fond, l’analyse, la réflexion et le témoignage. Une initiative de Mission chez nous.
Une nouvelle saison de l’émission télévisée par l’ECDQ qui met en lumière les aspects importants de la vie de l’Église à travers la rencontre de divers invités et leur témoignage de vie de foi.
Dans le cadre des 200 ans des Filles de la Charité du Sacré-Coeur du Jésus, présentation d'une exposition afin de mettre en valeur les oeuvres de la communauté.
Les tournages sont en cours lorsqu’Annabel est soudain plongée au milieu d’un contexte pandémique où les lieux importants qu’elle a repérés ferment les uns après les autres. De toute urgence, elle tente d’attraper là où elle le peut quelques précieuses bribes pour le montage du documentaire.
Alors qu’elle désirait tourner dans l’esprit des lieux et filmer par exemple au grand séminaire de Saint-Sulpice, voilà qu’elle se retrouve en studio pour enregistrer les voix du passé...
Les comédiens Pascale Bussières et Alexis Martin se sont prêtés au jeu et nous livrent ces paroles d’un autre temps, pour nous faire pénétrer dans l’univers de Jeanne Mance et surtout d’un mystérieux manuscrit.
Une grande partie se passe en France, notamment à Langres d’où viennent Jeanne Mance, Maisonneuve, Marguerite Bourgeois et la réalisatrice elle-même. Annabel avait déjà filmé en 2013 des images de repérage dans cette région qu’elle a ressorties comme des trésors précieux pour le film.
Pourquoi choisir comme médium le documentaire ? Pour la cinéaste, c’est pour la richesse du « témoignage » qu’il porte. « On poursuit une quête, mais, en même temps, cette fois-ci à travers mon regard, on découvre cette histoire. Il y a des gens qui t’en parlent comme s’ils avaient bu un café avec Jeanne Mance la veille ! »
Dans La ville d’un rêve, l’œil d’Annabel s’est plutôt fixé sur le manuscrit et sur son témoignage révélateur de l’histoire de la ville de Montréal. Ces écrits sont attribués à François Dollier de Casson, prêtre sulpicien explorateur en Nouvelle-France... Pourtant Annabel n’est pas dupe : Jeanne Mance est forcément dans les parages ! Et si ce manuscrit venait d’elle ? Si c’était la plume de Jeanne Mance que nous lisons sous la couverture d’un autre ? « Dans le film, on s’interroge, on se pose la question... ».
« Il n’est pas exclu que ce soit rafraichi de temps en temps, l’histoire, puis qu’on y revienne. Parce qu’il peut y avoir une autre lecture. Et ce n’est pas avoir une autre lecture en fonction de son temps ».
Annabel est repassée derrière ceux qui ont déjà travaillé et débroussaillé le manuscrit et c’est de là que les filons de son documentaire se sont tissés et que l’idée fut attisée. Elle n’a rien inventé, mais a trouvé les points pour lesquels nous pourrions croire que ça ne peut être que Jeanne Mance qui ait écrit ou dicté ces mémoires, ne serait-ce que parce qu’elle est au début la seule survivante des membres de la Société de Notre-Dame de Montréal présente et que Maisonneuve est reparti depuis belle lurette.
« Un film ne peut pas durer 3 jours », souffle Annabel. Elle a bien évidemment dû choisir certains témoignages plutôt que d’autres. Son générique contient toutefois le nom de tous les participants « à ce processus créatif ».
« On ne va pas mettre telle scène que j’ai mis tellement de soin à tourner...», c’est presque un deuil, parfois. Annabel donne l’exemple de cette scène à La Flèche où est expliquée toute l’histoire de l’escalier du Musée des Hospitalières.
La réalisatrice a tenu à souligner le défi énorme que représente le financement d’un tel projet et des documentaires en général à l’heure actuelle. Les subventions se font rares et les bénéfices que rapporte la vente ne sont pas non plus faramineux. Sur Viméo, un visionnement lui rapporte 41 cents. Nous sommes loin du prix des DVD vendus jadis à la sortie des salles de lancement ou en magasin.
Malgré tous ces défis, la réalisatrice ne cesse de se laisser interpeller par « les voix du passé » et ce qu’elles ont à nous dire. Depuis 2012, Annabel travaille sur cette trilogie notamment La ville d’un rêve. « Pour Jeanne Mance ici maintenant, je suis arrivée au bout de ce que je voulais faire ». Mais l’histoire ne s’arrête certainement pas là dans son esprit de cinéaste ! À suivre...
C’est à travers leurs échanges et présentations qu’elles découvrent avoir en commun des familles originaires de la Gaspésie/Bas-St-Laurent et plus particulièrement un lien avec la communauté religieuse des Servantes de Notre-Dame Reine du Clergé à Lac-au-Saumon.
«L’œuvre de femmes dans des communautés religieuses», c’est ce qui a interpelé les deux femmes n’étant pas du tout issues des mêmes générations et ayant un rapport avec la religion catholique complètement différent.
Désirant sortir complètement de leur champ artistique habituel, la performance (1), elles se lancent dans la réalisation et la production d’un documentaire sur les religieuses de Lac-au-Saumon. «C’est sûr qu’on voulait pas faire un documentaire sur l’histoire. C’était notre vision d’artiste. On va vous voir [les religieuses], vous entendre et on témoigne de ce qu’on a vécu avec vous». Elles ont vécu une semaine dans la maison mère de la communauté de religieuses et y sont retournées quelques fois au cours des mois suivants. Tout ça, en jonglant avec les aléas de la covid.
Évidemment, elles ont rencontré de nombreux défis techniques, car «on ne s’improvise pas cinéaste du jour au lendemain». Leur documentaire «intimiste» porte toutefois cette couleur authentique et spontanée de l’expérience de rencontre que les deux artistes ont vécue, particulièrement avec Regina, la tante d’Anne qui a maintenant 95 ans : «C’est toute une personnalité!» On y découvre un «portrait de ces femmes» et de leur vie à travers leur quotidien et quelques évènements comme les «grosses festivités» du 90e anniversaire de fondation et le déménagement de la communauté.
«Sarah et moi on est féministe pis là on rencontre des femmes qui ont consacré toute leur vie à s’occuper des prêtres». Là où quelque chose les «heurte fondamentalement», Anne et Sarah sont toutefois touchées et fascinées par ces «femmes tellement extraordinaires» qui ne «jugent pas». « J’en parle, j’ai des frissons», lance Anne.
C’est le contact de deux mondes que DUOLOGIE voulait présenter à travers son concept, «beaucoup plus que la chose terminée», mais c’est finalement la rencontre de trois mondes - celui de Sarah, d’Anne et des religieuses - qui a donné vie à ce documentaire. C’est donc dans cet esprit que leur travail a été présenté le 6 août. «Ça veut pas dire que c’est la version finie finie», mais le public a pu y voir un reflet de l’expérience vécue et de la démarche artistique et humaine.
1. Une forme alternative au théâtre classique, «où c’est la présence authentique de l’artiste» qui est recherché et non pas l’incarnation d’un rôle.
Après une course effrénée d’une trentaine de semaines, Catherine Ego et Mathieu Lavigne reprennent leur souffle et réalisent l’ampleur de l’expérience qu’ils ont vécue dans cet espace de parole précieux ouvert durant la première saison de l’émission Confluents.
Ce sont 31 épisodes originaux qui ont été produits pour cette première édition de l’émission à l’antenne de Radio VM et de Radio Galilée en 2021-2022.
En format entrevue avec un ou deux invités, les émissions donnent la parole à des membres des communautés autochtones ainsi qu’à ceux appelés «alliés» (anthropologues, personnes œuvrant en tant que présence pastorale en milieu autochtone, etc). Ce sont des témoignages d’une grande richesse que les coanimateurs ont amassés au fil de l’eau.
360 sur les créateurs
Mathieu Lavigne, directeur de Mission chez nous et coauteur d’Une fleur derrière les barreaux parue en 2022 aux éditions Novalis, a longtemps travaillé au Centre de services de justice réparatrice (CSJR).
Catherine Ego est traductrice littéraire, notamment d’ouvrages écrits par des personnes des Premières Nations ou traitant des enjeux autochtones. Elle travaille également au CSJR, particulièrement dans les ateliers Guérison des mémoires, axés sur les traumas en général. Celle qui est diplômée d’un certificat en études autochtones a reçu, en 2016, le Prix du Gouverneur général en traduction.
Mathieu et Catherine se sont davantage connus lors de leur collaboration sur la première intervention en trauma collectif au CSJR. En entrant comme directeur à Mission chez nous, Mathieu avait déjà cette idée de radio lui trottant dans la tête. En temps voulu, il s’est alors tourné vers son ancienne collègue et l’émission a pris son envol.
Pour eux l’importance de ne pas «tout mettre dans le même panier» était au centre de leurs préoccupations. «Dans les questions avec des autochtones, je parle beaucoup de traumas parce qu’on nous parle beaucoup de ça. En même temps, on ne voulait pas donner qu’une vision des gens dans les communautés autochtones», souligne Catherine. Ce pour quoi leur émission offre le micro à un très large panel d’intervenants invités. Des hommes, des femmes. Des gens croyants ou non. Des personnes avec ou sans parcours spirituel. Des gens du milieu politique, culturel, communautaire, etc. L’idée était de faire «un tableau, évidemment incomplet et qui évolue tout le temps».
À temps et à contretemps...
L’année de lancement de l’émission Confluents était déjà décidée depuis belle lurette lorsque tous les évènements concernant les pensionnats autochtones se sont mis à refaire surface dans l’espace public. Catherine Ego rappelle toutefois que ces enjeux existaient bien avant.
«Au début, c’était une de mes craintes en démarrant le projet, exprime Mathieu. Comment on va être accueilli dans le contexte comme organisme d’Église, pastoral en milieu autochtone? » Ils ne se cachent pas lorsqu’ils lancent leurs invitations. «On ne voulait pas faire semblant[...] On mettait tout ça sur la table d’emblée». Dans cette démarche de transparence, ils ont voulu montrer que l’espace de parole offert est un vrai espace où la parole est libre, où le «message ne serait pas contrôlé» avec le désir de laisser jaillir «la vérité». Évidemment, ils ont senti au début une certaine réticence et il a fallu un peu de temps pour que quelques invités commencent à accepter. «À un moment le lien de confiance s’est bâti».
«Nous avons carte blanche»
C’est ce que dit Catherine aux invités pour bien leur faire comprendre le sens de l’invitation. «Il y en a qui n’y sont pas allés de main morte»!
L’élément «séducteur» pour les invités entendus au micro est certes la demi-heure qui leur est totalement consacrée. Une demi-heure c’est énorme dans le monde de la radio et des médias!
Ce qui a beaucoup émergé des discussions? Le trauma, la colonisation et la décolonisation, la dépossession, la réconciliation, les enjeux de territoires, de l’histoire. Beaucoup d’enjeux qui n’étaient plus que des mots «pouvant parfois sonner un peu creux», mais qui prenaient soudain un sens plus profond, parfois confrontant, et propulsant dans une réflexion bien plus large de la réalité et de l’histoire comme on la connaît et la raconte...
«Cultiver le lien»
«On donne du temps, on prend le temps. On va vraiment cultiver le lien avec nos invités. On a pris soin d’eux», souligne Mathieu.
«La relation est très importante, je pense en général, mais en milieu autochtone d’autant plus». Ainsi, à l’image du désir de ses concepteurs, Confluents est devenu un «lieu de dialogue» avec l’auditoire et la personne faisant l’entrevue. Un point de rencontre, en studio et par les ondes... D’où le titre «Confluents».
«C’est la beauté de la radio, ajoute Mathieu. Tu ne sais pas qui va attraper ça! Ces conversations là font leur chemin».
Leurs efforts semblent porter de beaux fruits. Leurs émissions ont été relayées dans plusieurs contextes. Du matériel de l’émission est même utilisé dans un cours universitaire! «C’est intéressant, car ils entendent vraiment les personnes qui s’expriment», souligne Catherine.
Confluents a également joué un rôle majeur dans la création de la « constellation de personnes» vers qui il a été possible de rediriger les journalistes lors de la venue du Pape au Canada pour la démarche de Réconciliation. Mathieu Lavigne est d’ailleurs bien heureux de pouvoir renvoyer vers les personnes directement concernées, parfois avec qui il a déjà tissé le lien. «C’est une façon de continuer de leur donner la parole».
Bref, Confluents semble faire mouche et sera relancé pour une deuxième saison dès cet automne sur les ondes de Radio VM et Radio Galilée ou en format balado. La Fondation Lucien-Labelle est heureuse d’appuyer cette initiative.
Pour en savoir plus : https://www.missioncheznous.com/lemission-confluents/
Vitrail - Église Saint-Denis (Saint-Denis-de-Brompton) / photo: Éliane Thibault
«La Balade des clochers est une initiative qui a souvent été saluée», parce qu’en effet, ceux qui ne savent plus comment connecter avec leur église trouvent une occasion en or pour renouer, d’autant plus que les églises sont souvent fermées. Il ne s’agit pas simplement d’aller à la messe parfois, mais de leur laisser la possibilité de rentrer et d’admirer l’architecture, de s’imprégner du lieu et de ce qu’il dégage.
Il s’agit d’un évènement touristique plus patrimoniale que religieux. «Parler de l’église d’une municipalité, c’est aussi parler de l’histoire de la région», puisque ces bâtiments étaient souvent les premiers à être construits. «Une église c’est le portrait de sa communauté», lance Éliane. En comprenant son histoire, «tu comprends le caractère socio-économique de la région, son aspect religieux, son patrimoine». Une belle façon d’ouvrir cette histoire aux touristes... et aux gens de la place!
«Le double objectif c’est de fournir du matériel audiovisuel pour ces paroisses et églises-là, pour que s’ils ont à l’utiliser ce soit à eux», rappelle Éliane. Une belle manière de soutenir l’effort de mise en valeur du patrimoine.
Dans chaque église, les animations audiovisuelles se penchent particulièrement sur l’architecture et habituellement un détail prime au centre de la visite. Par exemple «des vitraux dessinés par Claude Lafortune», ou parfois des évènements forts dans l’histoire d’une église, comme lors du déraillement de train à Lac-Mégantic où beaucoup ont pris refuge dans le sous-sol de l’Église Ste-Agnès. «Les églises à une certaine époque c’était des musées», explique Éliane et c’est ce que veut recréer la Balade des clochers.
Avec les mésaventures de 2020, l’évènement a dû être annulé, mais Éliane se dit touchée de la réponse des commanditaires qui pour la plupart lui ont dit de garder les fonds pour «que ça revienne»!
Lorsque les nouvelles se sont clarifiées au printemps 2021, le soulagement était au rendez-vous : la Balade des clochers pourrait normalement avoir lieu. Mais pour les paroisses, qui «retenaient déjà leur souffle depuis deux ans», il a fallu relancer la machine. Toutefois, l’élan était au rendez-vous.
Éliane revenait d’une rencontre avec un prêtre qui lui avait proposé de visiter l’église qui «était digne des Filles de Caleb!» : «Une vieille belle église!», dit-elle. Ce prêtre lui a raconté l’histoire du lieu. Le soir même, en discutant avec son mari, le déclic se fait et le projet se monte spontanément! Le lundi au bureau, l’idée génère déjà de l’enthousiasme et c’est ainsi que prend forme par la suite la Balade des Clochers.
Les églises participantes pour l'édition 2021 sont les suivantes:
Église Saint-Denis (Saint-Denis-de-Brompton)
Sanctuaire de Beauvoir (Sherbrooke)
Église Saint-Pierre (La Patrie)
Église Sainte-Agnès (Lac-Mégantic)
Pour en savoir plus sur l’évènement :
Balade des clochers |
Archidiocèse de Sherbrooke |
Questions d'aujourd'hui |
Office de catéchèse du Québec |
Église diocésaine |
Diocèse de Sault-Ste-Marie |
Foi et turbulences |
Centre culturel chrétien de Montréal-CCCM |
Confluents |
Mission chez nous |
Horizon jeunesse Plus |
Ziléos |
Le bien caché dans la cité |
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En Chemin vers l'Essentiel |
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Mémoire vivante du christianisme social |
Centre Justice et Foi |
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Célébration eucharistique |
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Capsule vidéo – Introduction Nouveau Testament |
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